Endroit de planquette quand on était petits, d’observation de têtards, de bécots adolescents, de barres de rire entre copains… le lavoir de mon village d’enfance marque l’entrée dans la forêt où on construisait des cabanes, montait aux arbres et revenait les genoux déchirés et les chaussures crottées.
Situé juste en face d’un Manoir que l’on chérit tous, à l’ombre d’un grand saule pleureur planté par mon cher Papa, il est devenu depuis de nombreuses années le lieu de regroupement annuel des voisins, et cette année cette petite aquarelle figure sur le calendrier distribué à tous les habitants. Pas peu fière !
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